British civil servants warned of listening devices in pubs near government buildings

Parliament StreetBRITAIN’S SECURITY AGENCIES HAVE reportedly warned civil servants and parliamentarians that public places located near government buildings may be bugged by foreign intelligence agencies. The warning covers the SW1 postcode district of southwest London, which encompasses the City of Westminster and includes the Houses of Parliament, the Office of the Prime Minister at 10 Downing Steet, and Whitehall. The latter is home to several ministries and departments, including the Foreign and Commonwealth Office, the Cabinet office, and the Ministry of Defense.

The historic London borough is littered with historic public houses (commonly referred to as ‘pubs’) and restaurants, where thousands of parliamentarians and civil servants, as well as their aides, gather for lunch or drinks on weekdays. The area is also home to numerous parks, where many government workers eat their lunch during breaks—weather permitting. Among them is St. James’ Park, which is adjacent to Downing Street and within a short walking distance from the Treasury and the Foreign Office.

It is for these reasons, according to Britain’s Daily Mail newspaper, that foreign intelligence agencies consider these gathering hotspots as targets. The paper reports that “Chinese and other spies, including the Russians and Iranians” consider these prime SW1 locations as “the soft underbelly of Whitehall”. Accordingly, government officials holding sensitive positions, as well as junior staff working for them, have been warned to refrain from work-related discussions when frequenting these locations for lunch of drinks after work.

One source reportedly told the paper that St. James’ Park is “full of Chinese agents”, and went on to say: “we have been told the Chinese literally have the park bugged, with devices in the bushes and under park benches”.

Author: Joseph Fitsanakis | Date: 21 April 2025 | Permalink

6 Responses to British civil servants warned of listening devices in pubs near government buildings

  1. From reading open sources I add the following:

    A customer at another table can bring in a directional microphone (eg. button on his lapel) hooked up to a (difficult to see) bud hearing aid, to capture a conversation, of an official, aid, politician or traitor, in real time. Also that customer may be skilled in lip-reading.

    That conversation can also be recorded on that customer’s cell phone for subsequent clearer listening, evidence-intelligence gathering and/or translation back at the station/office.

    and

    Guests of interest to Russian or Chinese intelligence are frequently allocated pre-audio-visual bugged hotel or conference rooms – a practice going back decades.

  2. Unknown's avatar Anonymous says:

    The UK seems to be suffering from mania about Chinese spies and spying devices reminiscent of the days in the USA when your bed wasn’t considered to be properly made unless there were reds underneath.

  3. reserve34's avatar reserve34 says:

    Bonjour,

    En tant qu’officier sous-traitant, agent de liaison / DoD/CUI, tous les quartiers historiques de Londres, ou dans d’autres grandes villes, sont jonchés de cafés-restaurants historiques (communément appelés « pubs » pour Londres), où des milliers de parlementaires et de fonctionnaires, ainsi que leurs assistants, se réunissent pour déjeuner ou boire un verre en semaine / peuvent faire l’objet de sources d’espionnage sous la directive de surveillance étrangère / du matériel technologique peut être mis à disposition dans un cadre précis dans ces établissements à l’insu des membres du personnel et du patron, afin de collecter les informations des cibles, sans éveiller le moindre soupçon / Cette faculté de technique est utilisée par des agences gouvernementales – à l’égard de points de vue – malheureusement, elles le sont aussi dans le cadre de l’espionnage constituant de l’ingérence étrangère, de l’influence étrangère, des extrêmes liés aux fondamentalistes, sans même que ces fonctionnaires puissent avoir le temps de s’en apercevoir.

    DoD/CUI – Nous pensons, en concertation avec des réévaluateurs de la sécurité, que nous devrions mettre en place une obligation de mini-formation pour les mandants en politique. À un certain niveau, des analyses font état de dysfonctionnements autour du cadre communicant : il ne mesure pas assez les risques parce qu’ils n’ont pas conscience des effets rétroactifs qui sont divulgués.

    1/ Certaines conversations ne peuvent être discutées en milieu ouvert, en public, surtout en étant éméché, sans citer de noms !
    2/ Les conversations impliquant de la sécurité peuvent faire l’objet de contre-espionnage suivant la position du parlementaire et des affaires courantes qu’ils traitent dans certains dossiers.

    En tant qu’officier sous-traitant DoD/CUI, notre objectif relève de programmes de sensibilisation au contre-espionnage (CI), en permettant de sensibiliser le personnel de fonction parlementaire / fonctionnaire, autour de la sécurité de l’industrie, à leur responsabilité de constater un axe sur les activités ou les comportements inhabituels.

    Il existe des programmes de sensibilisation à l’IC, permettant également d’identifier diverses menaces provenant d’entités de renseignement étrangères. Je pense que certaines personnes devraient s’en inspirer, réduisant ainsi celles d’autres collecteurs illicites d’informations, notamment sur la défense, les affaires courantes, ou encore le terrorisme. L’ordre indiqué permet d’acquérir les bases des concepts et principes de sensibilisation aux CI.

    En Belgique, le RAPPORT D’INFORMATION du 19 avril 2024 relève des faits – sans apporter de modification dans le chef de parlementaire / fonctionnaire habilité à entendre, discuter, recevoir des informations (parfois sensibles), ou pouvant le devenir en fonction de la divulgation, consciente ou pas !

    Notre rôle, en fonction de nos connaissances, est de sensibiliser les acteurs étatiques – Belgique / France, Europe – USA / parmi d’autres pays concernés.

    Exemple : Des chercheurs chinois auront accès aux dossiers médicaux du NHS malgré les craintes du MI5 – service de renseignement britannique – qui avertit que les données de santé pourraient être utilisées à mauvais escient par Pékin. Ces fuites font état de collectes d’information permettant de comprendre certaines mesures, notamment dans un risque d’invasion dans le pays concerné.

    Nous avons averti les agences de renseignement occidentales, et elles ont averti que la Chine amassait des tonnes d’informations sensibles dans le cadre d’une menace potentielle pour la sécurité nationale.

    Mon analyse suggère qu’une demande d’accès sur cinq provient de Chine – c’est interpellant.

    Aujourd’hui, les députés exigent une enquête sur le projet de la Chine de construire une « super-ambassade » en face de la Tour de Londres, après que nos services de renseignement ont établi les risques liés au cadre sécuritaire de construire une ambassade à l’endroit invoqué.

    En France-Belgique, Europe, certaines infrastructures sont construites en face d’institutions pouvant créer de l’ingérence ou de l’espionnage depuis des technologies établies.

    DoD/CUI / SCI / DNS / DNI / DCIA
    Je vous joins un rapport de l’IRSEM > LES OPÉRATIONS D’INFLUENCE CHINOISES – DGSI / DGSE
    Ce rapport indique des similitudes en fonction des évolutions technologiques, qui déterminent un point d’ancrage de l’ambition de traiter la sphère liée à l’influence chinoise, de la plus bénigne (diplomatie publique) à la plus maligne, c’est-à-dire l’ingérence (activités clandestines) que nous connaissons bien, tout en les évaluant continuellement. Il est bon de le rappeler dans ce cadre précis – sans lancer de discrédit.

    Pourquoi l’Office antistupéfiants de Marseille a-t-il été perquisitionné ?
    En janvier 2024, ce prestigieux service de l’OFAST marseillais, qui lutte contre le trafic de stupéfiants, a été perquisitionné dans le cadre d’une enquête pour corruption, en réévaluant les effets rétroactifs négatifs.

    L’enquête a été ouverte au mois de janvier dernier, depuis que des ordinateurs et des téléphones portables, en fonction des éléments dans un cadre précis relevant d’évaluation inter-services, ont été saisis lors de la perquisition et ont été mis à l’analyse de l’IGPN, la police des polices.

    Les soupçons sont partis d’une dénonciation de la direction de la police de Marseille, qui aurait remarqué plusieurs choses étranges lors d’une enquête de l’OFAST. Ces effets démontrent que l’ingérence peut faire partie de notre quotidien, depuis des cadres opérant dans un contexte de sécurité.

    DoD/CUI. C’est pourquoi nous devons concentrer nos efforts depuis nos services – l’évolution de la technologie et de l’ingérence n’a pas de frontières.

    Tout comme le climat.
    CUI.

    LES OPÉRATIONS D’INFLUENCE CHINOISES – IRSEM

    Senat-rapport-ingerence-2024.pdf

    Dod/ US Département maritine SÉCURITÉ/RIVIÈRE MONONGAHELA/PANNE DE COMMUNICATION/SEC OHV BNM 0215-25U.S. Coast Guard a envoyé ce bulletin à 04/21/2025 02:53 AM EDT

    LA TOUR RADIO DE MAIDSVILLE DE LA GARDE CÔTIÈRE A SUBI UNE PANNE, L’HEURE DE RÉPARATION EST LE 22 AVRIL 2025. LE SECTEUR DE LA VALLÉE DE L’OHIO EST INCAPABLE D’ÉMETTRE OU DE RECEVOIR DE LA TOUR RADIO DE MAIDSVILLE SITUÉE À MM 97 LUN. LA PANNE AFFECTE 22 MILES SUR LE MON DE MM 115-137. TOUS LES NAVIGATEURS SONT PRIÉS DE COMMUNIQUER AVEC LE SECTEUR DE LA GARDE CÔTIÈRE DE LA VALLÉE DE L’OHIO AU 502-779-5424 POUR OBTENIR DE L’AIDE DE LA GARDE CÔTIÈRE.
    ANNULER À//280140Z AVR 25//

    BT

    CUI/ Nous saluons les efforts de Tokyo, qui  entre de plain-pied dans le soutien en renseignement à l’Ukraine Après de premières approches en début d’année, le Japon a signé un accord avec l’Ukraine pour lui fournir du renseignement géo spatial. Une situation inédite pour Tokyo, qui saute le pas d’un engagement assumé aux côtés d’un pays en guerre pour venir soutenir le cadre sécuritaire.

    En tant qu’officier sous-traitant DOD/CUI, j’ai averti des risques qui sont arrivés dans les oreilles de l’ancien chef du contre-espionnage de Donald Trump, la directrice DNI, mon miroir de conscience, mère de cœur, Avril Haines, nos directeurs DCIA/NSA/DNS, ainsi que d’autres agences opérant à la sécurité nationale. Mon évaluation autour des risques montre aujourd’hui, autour de diverses personnes centrées sur la sécurité nationale, qu’ils expriment de sérieuses inquiétudes quant aux purges en cours dans les institutions américaines.

    CUI/ Des analystes politiques décrivent ces actions, notamment celles impliquant Elon Musk, comme un « coup d’État » contre la démocratie américaine/la sécurité nationale.

    Par ailleurs, le président Trump a récemment remplacé le chef par intérim de l’IRS, Gary Shapley, quelques jours seulement après sa nomination. Cette décision fait suite à des tensions entre Elon Musk et le secrétaire au Trésor, Scott Bessent, mettant en lumière des frictions au sein de l’administration, que nous souhaiterions voir s’arrêter, permettant de créer de la stabilité dans un sérieux de travail, qui nous centre, nous, autour de la sécurité internationale.

    CUI/SCI/

    La fête de pâques, indique notre  éveille.

    Joyeuses fêtes à vous tous CUI/  

    Le dernier chef par intérim de l’IRS évincé au milieu d’une querelle de territoire entre Musk et Bessent – POLITICO

    🇨🇳 Bureau des affaires taïwanaises

    Le Bureau des affaires taïwanaises, relevant du Conseil d’État de la République populaire de Chine, est chargé de mettre en œuvre les politiques liées à Taïwan. Il joue un rôle clé dans les opérations d’influence et de propagande à destination de Taïwan .​

    🇪🇺 Frontex : Nouveau directeur à Paris

    Hans Leijtens, ancien chef de la gendarmerie néerlandaise, a été nommé directeur exécutif de Frontex. Il succède à Fabrice Leggeri et est chargé de renforcer l’action opérationnelle de l’agence européenne de protection des frontières

    Open source ouverte/ Nouvelle faille de sécurité au passif du secrétaire américain à la Défense Pete Hegseth

    Le secrétaire américain à la Défense, Pete Hegseth, a donné accès à son frère, son avocat et son épouse à une discussion concernant des attaques américaines contre les rebelles houthis.

    Le secrétaire américain à la Défense, Pete Hegseth, a donné accès à son frère, son avocat et son épouse à une discussion concernant des attaques américaines contre les rebelles houthis. ©AFP

    Aujourd’hui à 10:08

    Le secrétaire américain à la Défense, Pete Hegseth, a partagé des informations confidentielles sur des plans d’attaque américains avec ses proches sur la messagerie Signal.

    Le mois dernier, le rédacteur en chef du magazine The Atlantic s’était retrouvé dans un groupe de discussion comprenant plusieurs pontes de l’administration Trump. Il avait ainsi eu accès à des informations secrètes concernant des frappes aériennes contre les Houthis du Yémen.

    L’affaire avait fait grand bruit, le journaliste en ayant tiré un article. Voilà qu’on apprend qu’elle a également permis de révéler que le ministre américain de la Défense, Pete Hegseth – ex-animateur de la chaine Fox News, où travaillait également sa femme –, partage des informations sensibles avec ses proches.

    Deux conversations auxquelles il a pris part ont été dévoilées par le New York Times. La première, à laquelle participaient plusieurs membres de l’entourage de Trump, donne un aperçu des positions de chacun sur l’Europe. L’autre, impliquant des proches de Pete Hegseth – dont sa femme, son frère et son avocat –, concerne des informations sensibles au sujet, à nouveau, d’attaques américaines contre les rebelles houthis.

    Des fonctionnaires du Pentagone avaient averti le ministre quelques jours plus tôt qu’il ne devait pas discuter d’informations concernant des frappes au Yémen sur Signal […], selon le New York Times.

    Incroyable fuite de données secrètes de la part de l’entourage de Donald Trump

    Un “canular”, selon le Pentagone

    Le frère et l’avocat de Pete Hegseth travaillent pour le Pentagone, mais ce n’est pas le cas de son épouse, ce qui pose d’autant plus question sur sa présence dans ce groupe. Dans tous les cas, “on ne voit pas pourquoi l’un ou l’autre aurait eu besoin d’être au courant de frappes imminentes contre les Houthis au Yémen”, écrit le New York Times.

    Le média américain assure que des fonctionnaires du Pentagone avaient averti le ministre quelques jours plus tôt qu’il ne devait pas discuter d’informations concernant des frappes au Yémen sur Signal, une messagerie cryptée, mais considérée comme moins sûre que les canaux officiels utilisés habituellement pour les données sensibles.

    “De nouveaux détails apparaissent sans cesse. Hegseth a mis des vies en danger, mais Trump n’ose toujours pas le renvoyer.”

    Chuck Schumer

    Chef de la minorité démocrate au Sénat

    Le Pentagone a réagi à ces révélations en assurant qu’il s’agissait d’un canular orchestré par un “média qui déteste Trump” et qu’aucune information classifiée n’avait été partagée sur l’application de messagerie Signal.

    Du côté de l’opposition, on prend cependant cette affaire au sérieux. Le chef de la minorité démocrate au Sénat, Chuck Schumer, appelle à la démission de Hegseth sur X. “De nouveaux détails apparaissent sans cesse. Hegseth a mis des vies en danger, mais Trump n’ose toujours pas le renvoyer”, a-t-il écrit.

    Des données sur les plans de la Maison-Blanche partagées

    Cette nouvelle révélation – qui fait l’objet d’une enquête – n’est qu’une bourde de plus de la part de l’administration Trump. Des fonctionnaires de l’Administration des services généraux (General Services Administration) sont responsables d’avoir partagé à tort des documents sensibles avec des milliers de fonctionnaires, y compris des plans de la Maison-Blanche potentiellement secrets. C’est ce qu’a révélé, dimanche, le Washington Post, sur la base de documents internes auxquels il a eu accès.

    Outre les plans de la Maison-Blanche, les documents comprenaient des informations sur un projet de porte contre les explosions pour le centre d’accueil des visiteurs de la Maison-Blanche.

    Selon une enquête menée sur cet incident, des collaborateurs de GSA ont partagé par inadvertance un dossier Google Drive contenant des documents sensibles avec l’ensemble du personnel de cette administration employant plus de 11.000 personnes.

    Outre les plans de la Maison-Blanche, les documents comprenaient des informations sur un projet de porte contre les explosions pour le centre d’accueil des visiteurs de la Maison-Blanche.

    Joyeuses fêtes de Pâques.

    Pascal lembree/CUI/

  4. Anonymous at April 21, 2025 at 03:26

    On what basis are you making your “UK…mania” claim? Can you provide any links like the one below?

    https://en.wikipedia.org/wiki/Chinese_intelligence_activity_abroad#United_Kingdom

  5. reserve34's avatar reserve34 says:

    hello Pete,

    Hi Pete, based on our discussions on Chinese interference, the People’s Republic of China has accused three (3) Filipinos of espionage who were arrested on Chinese soil. Look, you’ll appreciate the content based on your expertise. Dod/cui. Have a nice evening, Pete.

    https://pia.gov.ph/nsc-statement-on-the-arrest-of-3-filipinos-on-espionage-charges/

    CUI/ Pascal lembree.

  6. Thanks Pascal

    China has broader definitions of what is national security and economic secrecy than most other countries.

    A foreign student or tourist with a camera might be at risk of arrest even taking pictures of the outside of a factory in China. If that student or tourist is ethnic Chinese he/she might be at increased risk of arrest as China seems to claim a type of ownership over ethnic Chinese anywhere worldwide.

    I’m currently reading Nicholas Eftimiades “Chinese Espionage Operations and Tactics” Second Edition, January 2025. Amazon Kindle edition.

    The Chapter “Domestic Collection Operations” [of MSS within China] is particularly relevant, from page 66. The book starts off fairly dry and technical but really gets going after page 66 and has excellent endnotes/links on Chinese intel gathering cases within the US and elsewhere.

    Nicholas Eftimiades is a professor at Penn State University, Homeland Security Program.

    Regards Pete

We welcome informed comments and corrections. Comments attacking or deriding the author(s), instead of addressing the content of articles, will NOT be approved for publication.