White House orders spy agencies to prioritize intelligence collection on Greenland

Nuuk GreenlandTHE ADMINISTRATION OF UNITED States President Donald Trump has ordered American intelligence agencies to focus on Greenland, while also mulling a plan to establish a formal association with the island territory. The Wall Street Journal reported last week that the Office of the Director of National Intelligence (ODNI), headed by Tulsi Gabbard, has communicated an official “collection emphasis message” on Greenland to the directors of American intelligence agencies.

Citing “two people familiar with the effort”, the paper said that the classified message was communicated to the leadership of the National Security Agency, the Defense Intelligence Agency and the Central Intelligence Agency, among other members of the intelligence community. The recipients of the order were instructed to prioritize the collection of intelligence about the politics of Greenland and Denmark to which Greenland belongs. They were also instructed to collect information about the island’s economic and social dynamics, including its inhabitants’ views on the United States.

The United States government uses collection emphasis directives as a means of aligning the use of intelligence resources with the White House’s policy priorities. According to The Wall Street Journal, the directive appears to be among the first concrete steps taken by the White House to utilize the government’s national security apparatus in support of President Trump’s often-stated desire to acquire Greenland on behalf of the United States. The island’s 57,000 residents are citizens of Denmark, which is a member of the North Atlantic Treaty Organization and a longtime American military and political ally.

When asked to comment on this report by The Wall Street Journal, DNI Gabbard accused the newspaper of “breaking the law and undermining our nation’s security and democracy [by] leaking classified information”. She added that the newspaper “should be ashamed of aiding deep state actors who seek to undermine the President by politicizing and leaking classified information”.

Meanwhile, the Reuters news agency reported last week that White House officials have begun outlining a plan to pursue a so-called Compact of Free Association (COFA) between the United States and Greenland. The United States maintains COFA agreements with several Pacific Island nations, including Micronesia and Palau. These agreements permit the American military to operate on the soil and maritime jurisdiction of these nations. In return, the United States provides these nations with essential services, as well as security and military protection.

Author: Joseph Fitsanakis | Date: 12 May 2025 | Permalink

8 Responses to White House orders spy agencies to prioritize intelligence collection on Greenland

  1. Since 1949 Soviet/Russian intelligence has seen its major missions as including causing division in the NATO alliance (check! – achieved 2025) and dividing the population of Russia’s Main Enemy (the USA, check! – also achieved 2025).

    Trump’s Russian mentors would certainly be familiar with Article 5 of the North Atlantic (NATO) Treaty see https://en.wikipedia.org/wiki/North_Atlantic_Treaty and specifically https://www.nato.int/cps/ru/natohq/official_texts_17120.htm?selectedLocale=en

    US aggression against a fellow NATO country is a circumstance never envisaged by the drafters of the NATO Treaty. Once this attack begins the NATO Resolution under Article 5 could read:

    We the Parties [excluding the USA] agree that an armed attack against [Greenland/Denmark] is considered an attack against us all [excluding the USA]. Consequently we agree to exercise the right of collective self-defence under Article 51 of the UN Charter. We will assist Greenland/Denmark now being attacked by the USA. We shall use armed force to restore and maintain the security of the North Atlantic area against the aggressor – the USA.

    This armed attack by the USA has been reported to the Security Council [excluding the USA]. Such measures shall be terminated when the Security Council has taken the measures necessary to restore and maintain international peace and security [against the USA].

    Trump’s previous bankruptcy and current crypto-currency creditors in the Kremlin, SVR, FSB and GRU fully endorse US pre-invasion intelligence collection against NATO member Greenland/Denmark https://en.wikipedia.org/wiki/The_Trump_Organization#Financing

  2. reserve34's avatar reserve34 says:

    Salut Pete,

    En tant qu’officier sous-traitant Dod/CUI/ DNI/NSA/ DIA/ DCIA/ SCI/ L’intérêt accru du président Donald Trump pour le Groenland s’inscrit dans une stratégie géopolitique visant à renforcer la position des États-Unis dans l’Arctique/  Cette attention marque un  manifeste par des directives données aux agences de renseignement américaines pour intensifier la collecte d’informations sur le territoire, notamment sous la supervision de la directrice du renseignement national, Tulsi Gabbard/ qu’on le veuille ou non.  

    1. Si le président Trump a ordonné aux agences de renseignement de se concentrer sur le Groenland, c’est pour plusieurs raisons, sous l’impulsion de la Directrice DNI/ Tulsi

    Tous d’abords Le président Trump a intensifié les efforts de renseignement sur le Groenland pour les ressources naturelles : Le Groenland est riche en minéraux rares essentiels aux technologies modernes, ce qui en fait une cible pour les ambitions minières américaines- surtout pour l’heure dans post conflit ukrainiens-russe,  la Position géostratégique  situé entre l’Amérique du Nord et l’Europe, le Groenland offre un emplacement idéal pour surveiller les activités militaires russes et chinoises dans l’Arctique ce qui pourrais en aire une base avancée pour nos forces opérer en cas d’invasion militaire russe et chinoise.

    Notre Présence militaire, sur La base aérienne de Thulé au Groenland, jouirais d’un point clé pour la défense antimissile et la surveillance spatiale.

    Ambitions politiques : Des rapports indiquent que l’administration Trump envisage une association formelle avec le Groenland, dans des accords d’acquisition, ce qui a suscité des tensions diplomatiques avec le Danemark, sous l’impulsion d’entité  étrangère pour réduire en partie  l’identification des individus sur place dans le seul  but de servir des intérêts partisanes voir, belliqueux provoquer par de l’ingérence chinoise ou russe.  

    2. Quel est le rôle du Bureau du directeur du renseignement national (ODNI) et de Tulsi Gabbard dans cette initiative ?

    Sous la direction de Tulsi Gabbard, l’ODNI a émis un « message d’accent sur la collecte » concernant le Groenland, demandant aux agences de renseignement américaines de prioriser la surveillance du territoire cette directive vise à Identifier les partisans d’une association avec les États-Unis : Les agences cherchent à repérer les individus au Groenland et au Danemark favorables à une intégration avec les États-Unis,

    Surveiller les mouvements indépendantistes : L’objectif est de comprendre les dynamiques politiques locales qui pourraient influencer les relations futures.

    Ces actions ont été critiquées par le Danemark, qui considère qu’espionner un allié est inacceptable, pourtant exploiter par la Russie, ou la Chine, si les États-Unis, ne sont pas pris en compte dans son intervention au Groenland.

    3. Quels avantages stratégiques le Groenland offre-t-il aux États-Unis ?

    Le Groenland présente plusieurs atouts pour les États-Unis, Surveillance militaire/ La base de Thulé permet de surveiller les activités militaires dans l’Arctique et de détecter les lancements de missiles.

    Ressources énergétiques : Le sous-sol groenlandais recèle des minéraux rares et potentiellement des réserves de pétrole et de gaz, attirant l’intérêt des grandes puissances avec les Routes maritimes,  avec la fonte des glaces, de nouvelles voies de navigation s’ouvrent, et le Groenland pourrait devenir un point stratégique pour le commerce maritime.

    Influence géopolitique est de  Contrôler ou s’associer étroitement avec le Groenland renforcerait la position des États-Unis face à la Russie et à la Chine dans la région arctique.

    Pour résumé, l’administration Trump considère le Groenland comme un élément clé de sa stratégie arctique, combinant intérêts militaires, économiques et politiques. Les directives données aux agences de renseignement visent à approfondir la compréhension des dynamiques locales pour informer les décisions futures.

    Les agences de renseignement américaines ont reçu l’ordre la semaine dernière d’intensifier leurs efforts d’espionnage liés au Groenland et au contingent qui soutient l’indépendance de l’île autonome danoise.

    La semaine dernière, des agences telles que la CIA, la Defense Intelligence Agency et la National Security Agency ont reçu un « message d’accent sur la collecte » de renseignements liés au Groenland de la part de responsables de la direction du renseignement national, Tulsi Gabbard, rapporte le Wall Street Journal, citant deux personnes familières avec l’effort.

    La collecte de renseignements se concentrerait en partie sur l’identification des individus au Groenland et au Danemark qui soutiennent l’intérêt de l’administration Trump à prendre le contrôle de l’île.

    L’effort pourrait inclure l’utilisation de satellites espions américains, d’interceptions de communications et de renseignements humains.

    « Le Wall Street Journal devrait avoir honte d’aider les acteurs de l’État profond qui cherchent à saper le président en politisant et en divulguant des informations classifiées », a déclaré Gabbard au journal en réponse à son reportage. « Ils enfreignent la loi et sapent la sécurité et la démocratie de notre pays. »

    The Independent a contacté la CIA, la NSA, la DIA et le bureau du Premier ministre danois pour obtenir des commentaires.

    Trump a déclaré au cours du week-end qu’il n’exclurait pas d’utiliser l’armée pour envahir le Groenland

    Trump a déclaré au cours du week-end qu’il n’exclurait pas d’utiliser l’armée pour envahir le Groenland

    L’avis de renseignement signalé marque l’une des premières mesures majeures prises par l’administration pour promouvoir l’intérêt de Trump à prendre le contrôle de l’île.

    Lors d’une interview accordée à NBC News au cours du week-end, Trump a réitéré son engagement envers cet objectif, qui, selon le président, pourrait fournir aux États-Unis un accès stratégique aux voies navigables polaires et aux minéraux rares.

    « Nous avons vraiment besoin du Groenland », a déclaré Trump. « Le Groenland, c’est un très petit nombre de personnes, dont nous prendrons soin et que nous chérirons, et tout ça. Mais nous en avons besoin pour la sécurité internationale.

    Il a ajouté qu’il n’exclurait pas d’utiliser la force militaire pour annexer l’île, ce qui marquerait un développement stupéfiant contre un territoire contrôlé par un allié de l’OTAN.

    Des responsables au Danemark et au Groenland ont déclaré qu’ils ne se soumettraient pas au contrôle américain.

    Voilà Pete, relevant sous peu nos échanges d’informations dans ce cadre Précis. CUI/

    Commandement de la défense aérospatiale de l’Amérique du Nord

    https://www.norad.mil/Newsroom/Press-Releases/Article/4077354/norad-conducts-operation-noble-defender-in-pituffik-greenland/

    Un dirigeant danois déclare qu’il ne peut pas espionner un allié après des informations selon lesquelles les États-Unis recueillent des informations sur le Groenland/ https://apnews.com/article/denmark-us-greenland-spying-7f7e75e3d0985b2e1ee38a9fc426e17d

    L’importance géopolitique croissante du Groenland – le trésor danois dans l’Arctique/ https://atlas-report.com/greenlands-growing-geopolitical-importance-the-danish-treasure-in-the-arctic/

    Les États-Unis envisagent un statut spécial pour le Groenland alors que la quête d’une île s’intensifie/ https://www.reuters.com/world/us-weighs-special-status-greenland-quest-island-intensifies-2025-05-09/

    Technologies de l’information et des communications Sécurité de la chaîne d’approvisionnement / https://www.cisa.gov/topics/information-communications-technology-supply-chain-security

    DOD/CUI/ De : It’s former CIA Director and Secretary of State [Mike Pompeo] <updates@emails.dailygopnews.com>

    Envoyé : jeudi 15 mai 2025 14:22

    À : pascallembree@hotmail.com <pascallembree@hotmail.com>

    Objet : This is a story about how we did the impossible under the first Trump Administration.

    Pete, J’ai participé à quelques opérations en syrie, avec notre agence de la Cia, pour reduire les groupes armées, et les actions du Deach/ En Belgique, France, Europe, ainsi que le reste du Monde/ Des modes opératoires qui nous sont propres aux intérêts que nous défendons dans un cadre précis. DCIA/DNI/DSN/DIA/DCI/SCI/CI/DOD/CUI. Mike, reviens sur nos relation interpersonnelle pour la sécurité national, en suivant notre respect pris depuis de longues années.

    Point/ 1 Bonjour Pascal,

    Je n’oublierai jamais ce moment… C’était lorsque nous avons rayé une partie de Daech de la carte sous la première administration Trump. Leur drapeau noir, autrefois déployé sur des villes de Syrie et d’Irak, symbole de terreur et d’oppression, avait enfin disparu. Mais lorsque nous avons lancé notre assaut final, ce n’était pas une simple opération militaire : c’était une attaque personnelle.

    Chaque bombe, chaque frappe, chaque risque que nous avons pris était pour vous, pour l’Amérique et pour les personnes dont Daech menaçait de détruire la vie.

    Ce n’était pas facile, car nous étions confrontés à l’un des groupes les plus dangereux et les plus barbares au monde, mais nous n’avons pas bronché. Nous avons uni nos alliés, les avons déjoués à chaque instant et avons écrasé leur soi-disant califat, envoyant le message que l’Amérique ne reculerait jamais devant le mal.

    Cette victoire n’était pas la mienne ni celle de nos militaires ; c’était aussi la vôtre, car sans la force du peuple américain, cette mission n’aurait pas réussi.

    Pascal, votre soutien nous a poussés à mener le combat contre eux, et ensemble, nous avons écrit l’histoire.

    Mais aujourd’hui, notre nation a besoin de votre soutien et de votre énergie pour lutter pour son avenir, et je compte sur vous pour mener la charge. Vos idées, votre voix et votre engagement sont ce qui fera avancer notre programme conservateur.

    Alors, Pascal, rejoignez-nous dans le combat et soutenez nos dirigeants les plus déterminés de l’America First ?

    Pascal, vous avez soutenu notre Parti républicain contre vents et marées. Alors, restons unis et assurons-nous que le prochain chapitre de notre combat soit tout aussi fructueux.

    Lutter pour notre avenir,

    Mike Pompeo

    2- CUI/ Bonjour Pascal,

    L’infiltration de la Chine communiste dans notre grande nation n’est plus un secret, et je sais que le PCC ne reculera devant rien pour compromettre notre sécurité nationale.

    J’aimerais pouvoir dire que c’est tout ce qu’ils font, Pascal. Vous et moi savons tous les deux que la Chine ne s’arrêtera pas tant qu’elle n’aura pas pris le contrôle total des États-Unis.

    Maintenant, voici le plus effrayant… Nous n’avons aucune idée de ce qui pourrait arriver ensuite – nos véhicules, notre frontière, nos ondes, notre technologie – ils pourraient s’en prendre à tout cela. J’espère que vous pourrez m’éclairer : où pensez-vous que la Chine frappera ensuite ?

    J’ai vraiment besoin de votre avis à ce sujet, Pascal, alors prenez un moment pour répondre à ce sondage et dites-moi ce que vous en pensez :

    OÙ LA CHINE FRAPPERA-T-ELLE PROCHAINEMENT ?

    J’espère que vous accepterez cette invitation à participer à la discussion sur la menace que représente la Chine pour notre sécurité nationale.

    J’espère que vous savez combien votre contribution est précieuse,

    Mike Pompeo

    via l’équipe dod-cui.

    Bon weekend Pete.

    CUI/PASCAL Lembree.

  3. Hi Pascal

    From your comment it is clear (then CIA Director) Mike Pompeo was delighted with your intelligence effort fighting for freedom against dark forces.

    Where you say (once translated) that:

    Trump “added that he wouldn’t rule out using military force to annex [Greenland] which would be a stunning development against territory controlled by a NATO ally.

    Officials in Denmark and Greenland have said they will not submit to US control.”

    I totally agree that aggression by any country (even a wavering ally) should be opposed.

    Regards Pete

  4. reserve34's avatar reserve34 says:

    En tant qu’officier sous-traitant Dod/CUI/ DNI/DSN/DCIA/DIA/CI/

    Salut, Pete, tu comprends la signification qu’un ordre est donné aux agences/  🇺🇸 Ordre de collecte de renseignements sur le Groenland, une évaluation responsable est engagé qu’elle soit en surface ou dans l’ombre de tous SCI/

    🛰️ Intérêts stratégiques des États-Unis au Groenland

    Le Groenland revêt une importance stratégique majeure pour les États-Unis en raison de sa position géographique entre l’Amérique du Nord et l’Europe, de ses ressources naturelles abondantes et de son rôle dans la sécurité arctique. Le territoire abrite la base spatiale de Pituffik (anciennement base aérienne de Thulé), essentielle pour la surveillance spatiale et la détection de missiles.

    💬 Réactions internationales et implications

    Les déclarations de Donald Trump concernant une possible utilisation de la force militaire pour annexer le Groenland ont suscité des inquiétudes au sein de la communauté internationale. Le Danemark et le Groenland ont fermement rejeté toute idée de cession ou d’annexion, affirmant leur souveraineté et leur autonomie. Des pays européens, tels que l’Allemagne et la France, ont également exprimé leur opposition à toute tentative d’annexion du territoire.

    🔍 Perspectives d’avenir

    Alors que les États-Unis intensifient leurs activités de renseignement et renforcent leur présence militaire au Groenland, les tensions diplomatiques avec le Danemark et d’autres alliés de l’OTAN pourraient s’accentuer. Le Groenland, de son côté, cherche à équilibrer ses relations internationales tout en affirmant son autonomie et en explorant des partenariats économiques diversifiés.

    Dod/CUI/

    Pete, Donner un ordre de collecte de renseignements sur une région comme le Groenland n’est jamais anodin. C’est une décision stratégique forte, avec plusieurs niveaux de signification, que ce soit dans la lumière officielle ou dans l’ombre des opérations clandestines. Voici ce que cela implique concrètement, notamment quand cet ordre émane d’organismes comme le DNI (Director of National Intelligence), et vise des agences comme la CIA, NSA, DIA, SCI :

    🔍 1. Signification immédiate de l’ordre

    Lorsqu’un tel ordre de collecte est donné :

    Cela signifie que la zone est jugée prioritaire ou critique pour la sécurité nationale.

    Les agences de renseignement sont officiellement mandatées pour mobiliser leurs ressources humaines, techniques et stratégiques.

    Il s’agit d’un changement de posture : ce n’est plus une simple veille, mais une mission active de collecte ciblée, y compris sous couverture.

    🛰️ 2. Collecte en surface (officielle)

    Les agences peuvent utiliser des moyens :

    Diplomatiques et militaires : en s’appuyant sur les accords existants avec le Danemark ou à travers des bases comme Pituffik (ex-Thulé).

    Technologiques : satellites, capteurs, drones, cybersurveillance.

    Économiques ou commerciaux : via des entreprises américaines partenaires opérant sur le territoire.

    Exemple : La NSA peut capter des communications locales via les relais satellitaires de l’Arctique.

    ;) Dod/CUI 🕵️ 3. Collecte dans l’ombre (clandestine)

    Lorsque l’ordre est donné, cela active aussi :

    Les opérations clandestines de la CIA (via la Direction des opérations, anciennement SCI).

    Le recrutement d’acteurs locaux ou étrangers comme informateurs ou influenceurs.

    L’établissement de postes avancés non officiels ou d’antennes “sombres” en lien avec des intérêts miniers, géopolitiques ou militaires.

    Ex. : Utilisation de sociétés-écrans, ONG ou missions scientifiques comme couverture.

    🧭 4. Pourquoi le Groenland maintenant ?

    Plusieurs enjeux stratégiques motivent cet ordre :

    Ressources naturelles : terres rares, pétrole, gaz, eau douce.

    Position militaire stratégique : point de surveillance entre l’Amérique, la Russie et la Chine.

    Course à l’Arctique : avec le réchauffement climatique, la fonte des glaces rend la région navigable et exploitable.

    Influence géopolitique : la Chine et la Russie s’intéressent aussi au Groenland — les États-Unis veulent garder le contrôle.

    🧠 5. Ce que cela révèle sur la doctrine Trumpienne

    Si cet ordre est donné sous l’administration Trump, cela s’inscrit dans une logique :

    Unilatérale et offensive : peu importe que le Danemark soit un allié de l’OTAN.

    D’anticipation militaire et économique : dans le doute, on sécurise l’accès à une zone critique avant qu’un rival ne le fasse.

    D’influence clandestine : parfois, même sans l’accord local, des opérations sont lancées “sous le radar”.

    🧩 6. Rôle de chaque agence dans cet ordre :

    Agence                Rôle

    DNI Supervise la coordination de toutes les agences

    CIA / SCI Opérations clandestines, HUMINT (renseignement humain)

    NSA SIGINT (renseignement d’origine électromagnétique), cybersurveillance

    DIA Analyse militaire, positionnement stratégique de bases ou d’ennemis

    DCIA Directeur de la CIA : donne le feu vert pour les actions les plus sensibles

    Pete,  voici ma 🧭 Carte d’analyse stratégique : Priorités américaines au Groenland

    1. Renseignement et opérations clandestines

    Directive de collecte : Le Bureau du Directeur du Renseignement National (ODNI), dirigé par Tulsi Gabbard, a émis une directive de « collecte prioritaire » sur le Groenland, ciblant les mouvements indépendantistes et les acteurs favorables aux intérêts américains.

    Agences impliquées : DIA, NSA, CIA, et ODNI sont mobilisées pour identifier les soutiens potentiels et évaluer les perceptions locales concernant l’extraction de ressources.

    Méthodes : Possibilité d’opérations clandestines, compte tenu de l’absence d’agence de renseignement locale, avec des agents infiltrés ou des partenariats discrets.

    2. Implantation militaire et présence stratégique

    Base existante : La base spatiale de Pituffik (anciennement Thule Air Base) est un point d’appui crucial pour la surveillance des missiles et les opérations arctiques.

    Antécédents : Redécouverte de Camp Century, une ancienne base nucléaire secrète, soulignant l’intérêt historique des États-Unis pour une présence militaire renforcée.

    Projections : Des voix au sein de l’administration Trump évoquent la transformation du Groenland en une base avancée pour contrer les menaces russes et chinoises. sto

    3. Ressources naturelles et enjeux économiques

    Richesses minérales : Le Groenland abrite des réserves significatives de terres rares, essentielles pour les technologies de défense et les énergies renouvelables.

    Hydrocarbures : Le réchauffement climatique rend accessibles des gisements de pétrole et de gaz auparavant inexploitables.

    Routes maritimes : La fonte des glaces ouvre de nouvelles voies de navigation stratégiques, augmentant l’intérêt économique et militaire de la région.

    strategyinternational.org

    4. Relations diplomatiques et tensions avec le Danemark

    Réactions danoises : Le Premier ministre danois a dénoncé les activités de renseignement américaines, affirmant qu’« on ne peut pas espionner un allié » .

    Position du Groenland : Les autorités groenlandaises insistent sur leur droit à l’autodétermination et cherchent à renforcer leurs relations avec l’Union européenne.

    Pressions américaines : Des responsables américains, dont le vice-président JD Vance, critiquent la gestion danoise et encouragent le Groenland à se rapprocher des États-Unis.

    🔍 Synthèse visuelle des priorités (classées par impact géopolitique)

    Axe stratégique Objectif principal  Niveau de priorité

    Renseignement Surveillance des mouvements indépendantistes et des ressources Élevée

    Implantation militaire  Renforcement de la présence pour contrer les puissances rivales  Élevée

    Ressources naturelles   Exploitation des terres rares et hydrocarbures Moyenne

    Relations diplomatiques Influence sur le Groenland et tensions avec le Danemark Moyenne

    📌 Ma Conclusion d’évaluation ?

    CUI/ Le Groenland est devenu un point focal de la stratégie américaine en Arctique, combinant des intérêts en matière de sécurité, d’économie et de géopolitique. Les initiatives actuelles visent à renforcer l’influence des États-Unis dans la région, tout en naviguant les complexités diplomatiques avec le Danemark et les aspirations d’autonomie du Groenland/  classé l’impact d’évaluation est responsable depuis la demande de notre directeur Tulsi/DNI, elles viennent accompagner l’engagement pris par le président, dans le conflit ukrainien -Russie, il est regrettable que la France, n’accompagne pas la démarche sous le prétexte du  principe de souveraineté Dod/CUI/ allors qu’ils savent pourquoi il est parfois plus utiles  de lancer un opération clandestine qu’ouverte aux yeux de tout le Monde, tout est transparent dans la collecte/ Rien n’est laissé aux Hazard/ et surtout pas de compromission de certains Gouvernements/ CUI.

    Tu poses ici une question lourde de sens sur la légitimité, autour de Mike, la méthode et la discrétion des dispositifs de renseignement stratégique, notamment dans le cadre d’une intensification américaine avec Mike Pompeo en figure pivot d’une doctrine de “containment élargi” (notamment Chine-Russie-Arctique).

    Je vais te proposer une lecture synthétique en trois volets, selon le format “Fondée / Cadrant / Sous responsabilité”, qui permet de structurer la pensée autour des principes d’action du renseignement dans des zones sensibles. 🔍 1. FONDÉE – Pourquoi les opérations de renseignement sont justifiables pour les États-Unis sur le Groenland ? MotifDétailSécurité nationale (NSS, 2021-2025)La doctrine Pompeo repose sur l’extension de l’influence US là où la Chine et la Russie cherchent un ancrage. Le Groenland est considéré comme une zone stratégique de veille avancée (early warning front).Contrôle des ressources critiquesLa présence de terres rares, de gisements pétroliers et l’ouverture de routes arctiques oblige les États-Unis à assurer un monopole discret sur la cartographie de l’exploitation.Autodétermination instrumentaliséeLes mouvements indépendantistes groenlandais sont parfois soutenus (ou infiltrés) par des intérêts chinois ou russes (selon la DIA), ce qui justifie une surveillance de terrain.Précédents historiquesL’existence de Camp Century (base nucléaire secrète des années 60) établit que les États-Unis ont déjà agi de manière autonome sur ce territoire.

    🔐 “Everything we do in Greenland, we do because the Arctic is no longer remote. It is immediate.” — Mike Pompeo, discours Arctique, 2019

    🧭 2. CADRANT – Comment ces actions s’organisent-elles concrètement ? NiveauDétails d’opérationsSCI (Sensitive Compartmented Information)Coordination ODNI / CIA avec le soutien du Defense Intelligence Agency pour toute information classifiée sur les ambitions étrangères dans les infrastructures (ports, stations, etc.).Déploiements souples (gray ops)Agents sous couverture diplomatique ou ONG, ou intégrés via des partenariats éducatifs avec Nuuk (capitale). C’est ce que l’on appelle une posture d’infiltration légitime couverte.Collecte en couches (multi-tier collection)Drones de surveillance, signalements humains (HUMINT), extraction de métadonnées satellite (GEOINT via NGA), et veille de réseaux sociaux (OSINT) ciblant les mobilisations populaires.Plateformes pivotPituffik (Thule Base) sert de hub satellite et relais SIGINT, probablement modernisé pour recevoir du matériel Space Force sous classification spéciale. 🛡️ 3. SOUS NOTRE RESPONSABILITÉ – Ce que cela implique, éthiquement et diplomatiquement DimensionRisques ou équilibres à tenirViolation de souverainetéLe Danemark est un allié de l’OTAN. Des opérations clandestines non concertées peuvent provoquer une rupture de confiance stratégique, voire des représailles diplomatiques.Escalade silencieuseUne fuite ou dénonciation publique pourrait délégitimer le discours américain sur la “coopération arctique” et pousser la Chine à officialiser son appui à l’indépendance du Groenland.Asymétrie informationnelleL’absence d’agence de renseignement groenlandaise rend l’opération unilatérale, donc moralement discutable sauf si elle est présentée comme du “pré-positionnement préventif” (doctrine Bush revisitée).Perception des populations localesToute action perçue comme paternaliste ou intrusive alimente l’anti-américanisme local, surtout chez les jeunes activistes environnementaux. 🔧 En résumé

    Mike Pompeo a posé les bases doctrinales d’une action arctique offensive mais rationalisée. L’ordre de collecte émis aujourd’hui par l’ODNI est l’héritage de cette vision : une Arctique sous contrôle occidental, avec le Groenland comme verrou tactique et symbolique.

    Pete, ce genre d’analyse ne peut se faire librement. Elle engage à la fois des doctrines, des risques de rupture diplomatique, et surtout des conséquences de légitimité internationale si des fuites surviennent/ de la responsabilité tout en accompagnent nos dirigents directeur de la Cia/ La confiance de Mike, depuis notre travail d’évaluation.

    Pour mon Miroir de conscience, mere de coeur Avril Haines.

    Bon samedi, pete.

    Avec toute ma considération DOD/CUI.

    Pascal Lembree.    

  5. You, Our Ancient Land” is the national anthem of Greenland, an autonomous state of Denmark. https://youtu.be/P9srGVVZEBs?si=hbSa0e9dj8ZMwST5 This is not a third world state the US usually invades.

  6. Hi Pascal “reserve34 says: May 17, 2025 at 05:10

    So on the HumInt side Danish counter-intelligence within PET [1] might focus on the US Embassy, Copenhagen [2] and US Consulate, Nuuk (Greenland’s capital) [3]. Meanwhile FE (Danish Defense HumInt and SigInt) is probably keeping a eye on the US Pituffik Base in Greenland. Pituffik partly does SigInt collection against Russia but also against other places. FE would also monitor approaching US aircraft and ships.

    US penetration of the very small, tight-knit, Greenland community (to cultivate informants and influencers) might be more difficult than penetration at the Danish end. CIA and NSA knowledge of the Icelandic language and customs would be more difficult than knowledge of Danish. Though luckily, and face to face, many middle class Icelanders and most middle class Danes speak English.

    Danish-Americans, and very rare Icelandic-Americans, would probably, now, be in hot demand for recruitment as CIA agents, DIA agents and as NSA translators. Undersea communications cables between Denmark and Iceland may also be in hot demand.

    [1] Danish civilian counterintelligence is within the Danish Security and Intelligence Service (called “PET” in Danish). https://en.wikipedia.org/wiki/Danish_Security_and_Intelligence_Service Anyone who has watched the TV show “Borgen” will recall final episodes where Danish Defence Intelligence Service (“FE” in Danish) sends a military counterintelligence officer from Copenhagen to Nuuk. FE leans on an unfortunate Icelander to become an agent. FE also does counterintelligence against hostile military personnel.

    [2] https://dk.usembassy.gov/

    [3] https://dk.usembassy.gov/nuuk/#location

  7. CORRECTION

    Re my mentions of “Iceland/Icelandic”. I obviously meant Greenland/Greenlandic.

    The Greenlandic language has about 57,000 speakers. It is closely related to the Inuit languages in Canada (also on Trump’s list) such as Inuktitut. Greenlandic is the most widely spoken Eskimo–Aleut language.

    Making the US intelligence job easier, in terms of learning Greenlandic and translating, is that: “modern Greenlandic has also taken many loans from Danish and English. [Greenlandic] has been written in Latin script since Danish colonization began in the 1700s.”

    More see https://en.wikipedia.org/wiki/Greenlandic_language

  8. reserve34's avatar reserve34 says:

    En tant qu’officier sous-traitant / DOD/CUI/

    Salut Pete,

    L’objectif général — évidemment, la situation sur place est redéfinie tout en déclarant « prévenir, enquêter et contrer les opérations et les activités qui constituent ou peuvent constituer une menace pour la préservation du Danemark ».
    Ses services prennent connaissance d’une partie de la collecte de renseignement ; l’autre partie est tout d’abord classifiée, à des fins de contre-mesure significative dans l’évaluation du Groenland.
    La base américaine de Pituffik est très importante pour nos services, elle est une base d’avant-garde ; elle permet aussi de repousser les risques liés à la Russie, tout en protégeant les intérêts des populations autochtones.

    Les peuples autochtones représentent environ 370 millions de personnes dans le monde, vivant dans plus de 70 pays. D’autres termes ont parfois été utilisés pour les désigner, comme aborigène, « peuple premier », « peuple racine », « première nation » ou « peuple natif », succédant à l’appellation péjorative de « peuple primitif », mais tous officiellement délaissés au profit de « peuple autochtone ».

    D’où l’intérêt, en fonction des éléments pertinents, de lancer une opération clandestine, si l’on souhaite se doter d’une collecte d’information sérieuse sur place.
    Des intérêts énormes sont en jeu — qu’ils soient minéralogiques ou sécuritaires — c’est à cela que l’administration Trump est confrontée, et qu’elle est modérée dans ce contexte particulier.

    En tant que DOD / PETE, nous pensons à la sécurité nationale d’abord.
    Aujourd’hui, les intérêts économiques relèvent de la compétence de l’administration Trump ; nos objectifs peuvent parfois ne pas être en accord, et c’est pour cela que nous œuvrons à réorienter les marges de manœuvre avec des évaluations constructives, et que nous engageons des opérations clandestines pour les mener.

    Penses-tu qu’elle n’aurait pas grand intérêt, sinon ? Crois-tu vraiment que chaque gouvernement collabore avec nos intérêts ?
    Tu le sais bien, Pete : les intérêts nationaux ne sont pas toujours égaux avec la sécurité nationale, ce qui, pour moi, est un tort à terme.
    Cela représente des coûts et des moyens humains, qui ne sont pas toujours une clé caractérisant l’efficacité d’une bipolarisation entre le bienfait économique et la sécurité de manière généralisée.

    DOD/CUI/
    Certains ministères — européens, belges, français — présentent ces failles, qui, en dépit du circuit intérieur, créent de l’instabilisation autour de sa régulation et de son manque d’adaptation, empêchant de créer de la stabilité, tout en restant conscient des réalités, bien évidemment Pete.

    A bientôt Pete/

    Pascal lembree.

    Dod/CUI.

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